Nouvelles dates pour les prochains ateliers sur la gouvernance des migrations et principaux enseignements de l'atelier d'Afrique de l'Est

Prenez note des nouvelles dates des prochaines réunions sous-régionales préparatoires pour les employeurs et les gouvernements pour la région d'Afrique de l'Ouest (29-30 mars 2022) et la région d'Afrique du Sud (20-21 avril 2022) et découvrez les conclusions des premières réunions sous-régionales préparatoires pour les employeurs et les gouvernements en Afrique de l'Est.

De nouvelles dates pour les ateliers organisés par l'OIE en Afrique ont été fixées. Le résultat de ces trois ateliers donnera lieu à une déclaration des employeurs africains qui sera soumise au Forum d’examen des migrations internationales en mai 2022.

Nous vous demandons donc de bien vouloir réserver les dates suivantes :

• Atelier 2 (région Afrique de l'Ouest) 29-30 mars 2022 : Pays invités : Algérie, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Gambie, Ghana, Guinée, Côte d'Ivoire, Mali, Mauritanie, Maroc, Nigeria, Togo, Niger, Sénégal, Tunisie.
• Atelier 3 (région Afrique du Sud) 20-21 avril 2022 : Pays invités : Afrique du Sud, Botswana, Congo, Eswatini, Lesotho, Guinée équatoriale, Madagascar, Maurice, Namibie, RDC, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe.

Veuillez trouver le projet d'ordre du jour de l'atelier d'Afrique de l'Ouest dans la section "Ressources".

Les employeurs de 8 pays d'Afrique de l'Est se sont déjà réunis les 22 et 23 février à Nairobi et en ligne pour discuter de la gouvernance des migrations et du rôle des employeurs dans les processus décisionnels.

Les principaux enseignements ont été les suivants :

• Les employeurs et les gouvernements ont un intérêt commun à garantir un cadre juridique opérationnel en matière de migration, qui réponde aux pénuries ou aux inadéquations de compétences, assure la création d'emplois, la transition vers des économies formelles, l'augmentation des investissements, et contribue au développement durable et à la croissance de l'Afrique. Les gouvernements et les employeurs doivent travailler main dans la main dans ce but.

• Bien que la plupart des flux migratoires se passent à l'intérieur de l'Afrique, les employeurs appellent à la mise en place de cadres régionaux efficaces qui permettent la libre circulation de la main-d'œuvre.

• Les employeurs demandent la mise en place de mécanismes institutionnels formels pour faciliter un dialogue efficace avec les gouvernements, en particulier pour assurer la mise en œuvre du Pacte mondial sur les migrations.

Le rapport détaillé de la réunion sera disponible sous peu.